BNP Paribas AM - Le « cloud computing » a-t-il un avantage pour les investissements ?

27/10/2022 - source : Patrimoine 24

Chez BNP Paribas, nous pensons que le « cloud computing » (ou informatique en nuage) n’est pas seulement une question de technologie, mais s’étend à tous les secteurs, toutes les industries et toutes les zones géographiques, et qu’il soutiendra les solutions à apporter aux changements structurels à long terme auxquels notre monde est actuellement confronté. Selon nous, les entreprises adoptant tout ce que le cloud peut offrir devraient prospérer et être les leaders du marché de demain.

Et notre approche d’investissement ouverte et investigatrice cherche à découvrir les nombreuses opportunités de ce thème innovant et en pleine expansion à l’image de la stratégie du fonds BNP Paribas Disruptive Technology.

Le « cloud computing » est essentiellement un service de livraison à la demande de ressources informatiques.

Alors qu’auparavant, les entreprises, les gouvernements et les organisations achetaient et maintenaient leur propre infrastructure technologique (serveurs et centres de stockage de données, par exemple), le « cloud computing » permet d’externaliser ces services via Internet, en fonction des besoins.

L’usage du « cloud computing » a d’abord explosé dans le monde commercial pendant la pandémie, car son offre de commerce virtuel répondait parfaitement à la demande soudaine de télétravail.                Pourtant, son adoption généralisée à l’échelle mondiale n’en est encore qu’à ses débuts et son potentiel de croissance demeure important, car il est considéré comme le moteur de la future transformation numérique des entreprises. Les dépenses mondiales des utilisateurs finaux en matière de services de cloud public ont atteint 410,9 milliards de dollars en 2021, mais devraient augmenter de 20,4 % en 2022 pour atteindre 494,7 milliards de dollars, puis 600 milliards de dollars en 20231.

L’avenir du cloud

Grâce à sa capacité à rendre potentiellement d’autres technologies plus légères, plus rapides et plus accessibles, le « cloud computing » peut être le pilier d’autres services numériques, tels que les réseaux sociaux, les jeux, les voitures autonomes et l’Internet des objets, et son utilité devrait se trouver davantage renforcée par les futurs réseaux ultrarapides, comme la 5G.

L’amélioration constante des services de cloud permet déjà de diviser cette technologie en différents composants de services, notamment l’infrastructure en tant que service (Iaas), la plateforme en tant que service (Paas) et le logiciel en tant que service (Saas). Toutefois, de nombreux autres domaines devraient bénéficier de la croissance du « cloud computing » :

Capacité de stockage : dans un monde où les volumes de données augmentent rapidement, de nombreuses entreprises se tournent vers le cloud et disposent ainsi de capacités accrues. De plus, le prix de ce type de stockage diminue à mesure que la concurrence augmente. Sécurité : face à l’augmentation et à la sophistication de la cybercriminalité, les fournisseurs de services de cloud sont souvent en capacité d’offrir de meilleures mesures de sécurité que les entreprises individuelles. Expériences client sur mesure : les clients devenant plus exigeants, il sera avantageux d’utiliser le cloud pour améliorer l’interaction avec ceux-ci grâce à des applications de feedback et à une association plus étroite avec eux. Intelligence artificielle (IA) : les services d’IA et les plateformes d’apprentissage automatique nécessitent une puissance de traitement et une bande passante de données considérables – la disponibilité des centres de données sur le cloud signifie que les capacités d’IA seront accessibles à un public beaucoup plus large. Fonction en tant que service (Faas) : le cloud sans serveur est un concept plus récent qui permettra aux entreprises de ne plus avoir à maintenir leurs propres systèmes de serveurs et d’accéder à une plus grande capacité de serveurs au rythme requis par leur activité plutôt que d’être contraintes par les dépenses opérationnelles.

Le « cloud computing »  représente l’une de ces tendances structurelles à long terme également source solide d’opportunités. Il offre de nombreux avantages aux utilisateurs de ses services, tant dans le secteur public que dans le secteur privé, et aux investisseurs à la recherche d’un secteur valorisé à plusieurs milliards de dollars dont la croissance n’en est encore qu’à ses débuts.

BNP Paribas Funds Disruptive Technology est un compartiment de BNP Paribas Funds, SICAV de droit luxembourgeois conforme à la directive 2009/65/CE. Ce produit promeut des caractéristiques environnementales ou sociales au sens de l’article 8 du règlement UE 2019/2088. Il s’agit d’un produit dont l’objectif n’est pas l’investissement durable, mais qui tient compte des critères ESG dans le processus d’investissement parallèlement aux critères financiers.

Les investissements réalisés dans les fonds sont soumis aux fluctuations du marché et aux risques inhérents aux investissements en valeurs mobilières. La valeur des investissements et les revenus qu’ils génèrent peuvent enregistrer des hausses comme des baisses et il se peut que les investisseurs ne récupèrent pas l’intégralité de leur placement. Le fonds décrit présente un risque de perte en capital. Pour une définition et une description plus complète des risques, merci de vous reporter au prospectus et DICI du fonds 

 

 1 https://www.gartner.com/en/newsroom/press-releases/2022-04-19-gartner-forecasts-worldwide-public-cloud-end-user-spending-to-reach-nearly-500-billion-in-2022

 

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